Une proposition de Jean-Baptiste Veyret-Logerias, artiste choré-graphique, en 4 séances d’atelier semi-public
Ce laboratoire se propose d’explorer en quoi l’unisson n’est pas un son unique, une voix unifiée, mais révèle subtilement les singularités qui le constituent. Il n’est donc pas un espace de consensus : il est un accord à laisser émerger, ensemble, les expressions individuelles. Faire nation ne se laisse pas réduire à la définition d’une identité commune ; cela devient plutôt la recherche commune d’un espace où les dissonances deviennent possibles, où l’on s’accorde à ne pas être au même diapason.
Collaboration artistique: Charlotte Imbault et Céline Cartillier
Séances les 28, 29, 31 de 11h à 14h et restitution le 1er février de 13h à 16h30
Pour des raisons d’organisation et d’équilibre dans les voix, les chanteurs s’engagent à
participer aux 4 jours d’atelier-recherche.
Les participants doivent être prêts à expérimenter, à chercher, ainsi qu’à répondre à une
exigence vocale, sans pour autant être des professionnels ni des amateurs avertis de la
pratique du chant choral : est plutôt déterminante l’envie de se plonger dans une pratique
de musique en groupe qui, du fait de la proposition même, tirera à plusieurs endroits sur
ce que l’on nomme la musique minimale.
Si ce projet vous intéresse, envoyez une courte lettre de présentation faisant état de ce
qui, chez vous, résonne dans ce projet, à : plurissons@gmx.fr